article paru dans la presse régionale le 11 septembre 2010, avec quelques ...erreurs...!!!

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Etonnant, non ?

🙂  Un chamois capturé en plein   centre-ville de Dijon

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le 16/05/2014 à 05:07 | Éric ChazeransVu 6474 fois

Le chamois est un mâle de 2 à 3 ans. Il a été relâché dans un habitat plus propice à sa survie. Photo illustration LBP

La capture est plus courante que ce que l’on pourrait croire. Jeudi, en début d’après-midi, un chamois a été attrapé dans Dijon.

Que l’on s’adresse à l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) ou au lieutenant de louveterie Michel Flé, le discours est le même : « Capturer des chamois en pleine ville, à Dijon, c’est quelque chose qui arrive de temps en temps. »

Une capture pas si rare

Celui capturé ce jeudi n’en reste pas moins le premier de l’année 2014. « Il m’a taquiné depuis le matin », explique Michel Flé. « J’ai fini par l’avoir, avec l’aide d’habitants de Dijon, à 14 heures, rue Chevreul, derrière la piscine. C’était un mâle de deux à trois ans. Un beau trophée, vraiment. » Un trophée qu’il a endormi à l’aide d’un fusil à seringue hypodermique. « L’animal est en parfaite santé, il n’y a pas eu d’accident. C’est un beau résultat », se réjouit encore celui qui a en charge la capture d’animaux sauvages dans l’agglomération dijonnaise.

Capturé vers 14 heures, l’animal a été pris en charge par l’ONCFS est emmené dans un habitat plus propice* à sa survie. « Je lui ai donné à boire pendant le trajet. Quand on l’a relâché, il s’est tourné deux ou trois fois vers nous comme pour nous dire au revoir », se souvient, presque ému, Michel Flé.

« Pas une égratignure »

Du côté de l’ONCFS, on explique que ce genre de capture est finalement assez courant. Si ce n’était pas le cas l’an passé, en 2012, plus d’une dizaine auraient ainsi été capturés dans la cité des Ducs : « C’est un animal dont l’habitat naturel est la haute montagne, la moyenne montagne et les bois. Ceux que l’on retrouve en ville sont souvent des mâles, qui ont été chassés de leur territoire par un mâle plus fort qu’eux. Ils s’éloignent donc à la recherche d’un nouveau territoire. C’est ce qui peut les amener en ville. »

Quant à Michel Flé, on le sent encore émerveillé de sa capture, son trophée comme il dit : « Quand même, vous imaginez ? Il a traversé des routes, des autoroutes, tout un tas d’obstacles pour venir jusqu’ici. Et sans une égratignure ! Vous auriez dû le voir bondir par-dessus les voitures ! Le garagiste n’en revenait pas. » Le lieutenant de louveterie non plus. Pourtant, jeudi, l’animal qu’il a endormi n’est que le dernier d’une longue liste de mammifères qu’il a contribué à rendre à la vie sauvage.

 * habitat plus propice : j'ai une petite idée de cet endroit plus propice......

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Derniers commentaires

15.08 | 10:12

Bonjour Marie Christine. Nous vendons la maladière et arrivons bientôt à Mâlain, 4 rue du Pont. Grand plaisir de vous revoir en mâlinois.

15.08 | 09:27

Dans votre futur(très proche !!!) terrain, il ne sera pas difficile d'en installer une...Je pourrai vous indiquer les techniques si vous le souhaitez. A bientôt

15.08 | 09:06

Incroyable le nombre d'animaux autour de ta souille. Mais c'est pas facile d'en trouver une. Je suis sur la piste d'un groupe de castors et j'espère que la canicule ne les aura pas chassés.

10.10 | 14:58

Merci beaucoup Sylvie. J'aime quand la maîtresse me gratifie d'une appréciation très positive...Cette semaine, début de l'expo à St Seine : plus de 100 photos et autant de vidéos.

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