qui viennent chauffer leurs écailles sur les vieux murs en bas de la cour. Nous les observons très facilement en milieu de journée avec un peu de discrétion et peu de mouvements.
Elles trouvent ici un hâvre de paix, se réfugient parfois au bord de l'ancienne mare et ne craignent que la route à quelques dizaines de mètres.
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