A la Maladière, avant l'arrivée de la maladie virale hémorragique, le lapin de garenne occupait les haies encore nombreuses, les talus herbeux, les vieux murs pas encore arasés,  les ronces, épines et branchages  épargnés par le broyeur. Il cohabitait avec nous jusque dans les bâtiments où il ne trouvait pas de plus sûr asile pour sa "rabouillère".

     C'est un temps révolu,  retrouvé aujourd'hui avec cette vidéo, un peu vieillie, que je vous propose de partager comme on ouvre la boîte de gâteaux métallique de notre grand-mère , abritant les photos jaunies de sa jeunesse perdue.

     J'espère que vous aimerez prendre le temps de ce petit retour en arrière, avec sans doute un peu de nostalgie pour "ceux de mon âge", mais avec l'espoir que tout n'est peut-être pas perdu...

     Une petite colonie reprend sa place chez nous. Elle sera bientôt renforcée, sur nos territoires du GIC Val d'Ougne et Suzon, par des lapins issus des reprises organisées par la Fédération des chasseurs de la Côte d'Or, dans le cadre d'une convention de gestion avec les détenteurs du droit de chasse.

Derniers commentaires

15.08 | 10:12

Bonjour Marie Christine. Nous vendons la maladière et arrivons bientôt à Mâlain, 4 rue du Pont. Grand plaisir de vous revoir en mâlinois.

15.08 | 09:27

Dans votre futur(très proche !!!) terrain, il ne sera pas difficile d'en installer une...Je pourrai vous indiquer les techniques si vous le souhaitez. A bientôt

15.08 | 09:06

Incroyable le nombre d'animaux autour de ta souille. Mais c'est pas facile d'en trouver une. Je suis sur la piste d'un groupe de castors et j'espère que la canicule ne les aura pas chassés.

10.10 | 14:58

Merci beaucoup Sylvie. J'aime quand la maîtresse me gratifie d'une appréciation très positive...Cette semaine, début de l'expo à St Seine : plus de 100 photos et autant de vidéos.

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